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Hier, nouvel après-midi au maïs. - PÊCHE EN SEINE-ET-MARNE proposée par André MARINI

J'ai essayé mais j'avoue ne pas avoir beaucoup insisté avec ce froid.

 

Le vent glacial de contre-courant m'arrivait pleine face alors, que derrière les arbres, les nuages courraient dans l'autre sens.

 

J'ai donc pêché par intermittence, 10 minutes de pêche et 1/2 heure de bricolage pour me réchauffer. Ce ne sont pas des journées bénies des Dieux mais il faut s'y faire parce que nous n'allons pas vers des jours meilleurs.

 

Sur mon coup bien amorcé, premier appel, une touche, un barbeau.

 

 

Je suis déjà gelé et je bricole sans laisser ma ligne à l'eau à cause du vent.

 

Deuxième rappel alors que mon frère est là, une touche, deuxième barbeau.

 

 

Une bonne demi-heure, le temps de couper quelques arbres pour mon chemin et je m'y remets avec rappel.

 

Une touche, un chevesne.

 

 

Comme la journée avance, je m'octroie une bonne heure de pause, le temps que le vent se calme puis je m'y remets.

 

Rappel, une touche et un barbeau qui vaut son pesant de nougat. Une bête splendide qui pèse allègrement 4 ou 5 kg même si la photo l'écrase un peu.

 

Remarquez, au passage, de combien il dépasse de l'épuisette. Ceci donnera une idée plus juste de sa taille et surtout, de sa corpulence.

 

 

Cette fois, comme le vent est tombé, j'insiste. Rappel, une touche et....un brochet.

 

Oui, un brochet. Pourtant je sais que, à cette profondeur, il n'y a pas de gardons et que les ablettes sont déjà rentrées.

 

Si maintenant les brochets se mettent à confondre une ablette, un gardon ou un petit chevesne avec un grain de maïs, il va falloir les équiper de lunettes.

 

J'ai beau être surpris, je le travaille gentiment puisque je vois l'hameçon au bord de la gueule et je l'épuise.

 

La photo est de mauvaise qualité car je suis allé vite. Le poisson me semblait très fatigué et il ne fallait pas tarder à le remettre à l'eau, d'ailleurs, il n'a pas quitté l'épuisette.

 

 

JE PERSISTE ET SIGNE

 

Même si la journée d'hier est un peu tronquée, je reste convaincu que l'amorçage de fond avec des galettes de maïs et le rappel avec de l'épicéine, du chènevis grillé moulu et une boite de maïs en grains est la meilleure formule.

 

10 barbeaux en deux après-midis, cela ne peut pas être le hasard.

 

La pêche à la coulée est possible parce que le niveau de la rivière est très bas mais même au feeder, je suis persuadé que l'on peut prendre, à condition de pratiquer avec un montage spécial que j'ai préconisé il y a quelques jours, le fond étant très encombré.

 

Quant aux brochets, 4 en trois jours alors qu'hier je n'avais rien demandé, il y a bien longtemps que j'ai dépassé le quota de 20 que je me suis fixé en début de saison.

 

Certes, je remets à l'eau mais un poisson piqué ne repart pas dans les mêmes conditions alors inutile de manger son blé en herbe.

 

Quant aux sandres, il y a bien longtemps que j'ai atteint mon quota de 50 et que je n'essaie même plus.

 

Je crois bien que ma saison tire à sa fin et que je ne vais pas tarder à tirer ma révérence du bord de l'eau, à moins qu'il ne me reste que la carpe. Là, je suis débutant et j'ai besoin de conseils.

 

ALORS:

 

APPEL AUX CARPISTES. INVITEZ-MOI UNE JOURNEE POUR ME DONNER LES RUDIMENTS.

 

 

VOYONS SI, POUR UNE FOIS, JE PEUX COMPTER SUR VOUS.

Tag(s) : #La pratique de la pêche au coup.

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