Personnellement, je ne me gêne pas pour en mettre une bonne quantité, soit au départ, plantes coupées, un bon petit bouquet.
De toutes façons, avec cet additif-là, on ne met rien d'autre tant l'odeur est forte.
Bien entendu, je coupe tout, feuilles et fleurs sans faire de tri mais en laissant la racine en terre pour l'an prochain, d'autant que le bouquet que je vous présente vient de mon jardin.
CONFINEMENT OBLIGE: Pas question d'aller en cueillir dans mon endroit favori.
Voici le bouquet avec lequel je vais préparer l'amorce.
Maintenant, il faut broyer jusqu'à obtenir une pâte complète, sans petits morceaux, ce qui est quasiment impossible en l'état.
Voici le résultat d'un premier passage au moulin. On peut voir que je n'ai pas obtenu une pâte telle que je le souhaitais et lorsque les boulettes iront à l'eau, certes, les petits morceaux seront mangés par un poisson friand mais ce n'est pas le but.
Je veux pouvoir vraiment mélanger une bouillie à mon amorce.
Pour obtenir une vraie bouillie, il faut mélanger le produit de la première passe avec un ajout solide ou en petits grains qui achèvera le travail des pales de la machine tournant à grande vitesse.
On peut utiliser du sable fin, mais oui !
Cette fois-ci j'ai utilisé du grain de chènevis d'amorçage.
Il suffit de reprendre la manoeuvre et de hacher le tout pour obtenir ma pâte, avec des grains de chènevis à peine éclatés mais peu importe du moment que l'ail aux ours est bien hachée.
Cette quantité convient très bien pour un kilo d'amorce et ne croyez pas que vous n' attirerez que les brèmes car les gardons en sont très friands.
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