J'ai récemment publié un article à ce sujet en précisant bien qu'il convenait de renouveler l'expérience qui ne pouvait être probante sur un seul essai.
Donc en route avant-hier pour de nouvelles aventures.
Il convient tout d'abord de préparer l'eau salée pour y conserver plusieurs heures des ablettes vivantes indispensables comme vifs pour mon montage pater-noster.
Puis à préparer mon amorce habituelle à laquelle j'ajoute toujours et depuis longtemps une pincée de sel.
En prenant les esches dans le seau, j'en utilise donc qui sont un brin salés également.
Je préférerai des gardons mais à cet endroit, tout est démesuré et allez utiliser des tels vifs !
Bien ronds, parfaitement en forme donc adaptés à affronter un courant d'autant plus violent que la Marne continue de monter et avec ce qu'il tombe, ce n'est pas prêt de s'arrêter.
Je relâche les gardons et les goujons mais pendant ce temps, les ablettes que je prends restent pendant deux bonnes heures dans l'eau saturée en sel et elles sont en forme.
Il ne me reste qu'à préparer mes cannes à montage pater-noster pour lesquelles j'utilise une plombée perdue.
En effet, le fil très fin qui les attache à l'agrafe émerillon terminale casse à la moindre tirée et le poisson se trouve libre de filer sans sentir la moindre résistance.
Ce jour-là, deux départs concrétisés par la prise de deux sandres mais ma partie de pêche a vite été interrompue par un déluge de pluie...
Dommage, ça commençait bien !
Je reste convaincu que cette astuce bien banale est efficace donc à confirmer dans d'autres conditions.
AFFAIRE A SUIVRE !