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LE BARBEAU AU PELLET ET AU GOUDRON DE NORVEGE: Je persiste et signe. - PÊCHE EN SEINE-ET-MARNE proposée par André MARINI

J'ai décrit cet essai lors de l'article précédent mais cela ne peut avoir de référence que si l'on répète plusieurs fois la tentative.

Sinon on peut considérer qu'il y a eu coïncidence entre une frénésie alimentaire et l'adjonction d'un produit.

J'ai donc à nouveau essayé hier mais avec seulement deux cannes, pressentant un passage sur un coup désormais bien amorcé.

De plus, j'accroche des bas de ligne montés et eschés à une branche pour pouvoir relancer très vite si nécessaire.

LE BARBEAU AU PELLET ET AU GOUDRON DE NORVEGE: Je persiste et signe.

A peine les deux cannes à l'eau, un départ puis je vois arriver un joli barbeau.

LE BARBEAU AU PELLET ET AU GOUDRON DE NORVEGE: Je persiste et signe.

Mais pendant que j' amène ce poisson au bord, je suis plutôt dans l'embarras avec la deuxième canne.

Elle plie et le tambour débrayable laisse le fil partir à toute allure.

LE BARBEAU AU PELLET ET AU GOUDRON DE NORVEGE: Je persiste et signe.

Mais je ne suis pas inquiet puisque je sais que mon montage n'entraîne pas la plombée et que je ne risque pas l'accrochage sur ce départ typique de barbeau.

Je prends donc le temps de décrocher le premier avant de m'occuper de la seconde canne.

LE BARBEAU AU PELLET ET AU GOUDRON DE NORVEGE: Je persiste et signe.

Quelques instants de répit puis des touches plus discrètes.

Le banc est passé et, à tous les coups, les brèmes sont arrivées, attirées par l'odeur du goudron de Norvège.

LE BARBEAU AU PELLET ET AU GOUDRON DE NORVEGE: Je persiste et signe.

Oui, gagné. C'était bien cela et une autre suit.

LE BARBEAU AU PELLET ET AU GOUDRON DE NORVEGE: Je persiste et signe.

Encore un petit instant de répit puis un autre départ. Je diagnostique un barbeau.

LE BARBEAU AU PELLET ET AU GOUDRON DE NORVEGE: Je persiste et signe.

Gagné, c'est bien ce joli poisson que j'adore pêcher !

Nouveau départ. Je diagnostique un autre barbeau mais ça dévide très vite.

Je prends contact en freinant le tambour avec la main et là je me rends compte que je vois déjà le fer du tambour. Seules quelques spires de tresse me laissent une faible latitude mais c'est intenable. Pourtant, je suis monté en conséquence !

J'arrive au bout de mes 150 mètres de tresse et là, je dois subir en essayant de pomper pour récupérer mètre pas mètre mais rien à faire et je sens que ça casse.

La tresse du corps de ligne ? Avec 17 Kg sur mes cannes à carpes, faut voir!

Le bas de ligne ? Avec 11,3 Kg, faut voir !

Et bien non ! Hameçon de 6, à boucle et fort de fer ouvert au point qu'il n'y a plus de courbure.

Je ne saurai pas ce que c'est mais d'après mon ami Nico, redoutable pêcheur et fantastique carpiste, le silure prend quelquefois cette esche à base de poisson.

Mon prochain essai se fera sans adjonction de goudron de Norvège et je verrai bien si les départs sont aussi nombreux que lors des deux sessions.

Affaire à suivre !

Tag(s) : #La pêche à la plombée, à fond

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